Fringues (2)

Catégories : Femmes fessées
Ce récit est la suite de : Fringues (1)
il y a 1 an
  • T’aurais dû venir ! Comment ça valait le coup !

  • Ah oui alors ! Parce qu’on a trouvé le point faible, là. Je peux te dire qu’il y est pas resté derrière son comptoir à regarder tout ça de loin comme il fait d’habitude. Comment il a rappliqué ! Toutes les trente secondes il était là, derrière le rideau. Qu’on avait laissé entrebâillé juste ce qu’il fallait. À nous demander si on n’avait pas besoin d’un conseil. Fallait pas qu’on hésite, hein, surtout ! D’ailleurs il venait de recevoir de nouveaux modèles. Si on voulait les essayer… Ça nous engageait à rien… Et patati… Et patata… Il partait. Il revenait. Il arrêtait pas. Et il se rinçait l’œil tant qu’il pouvait. Je te le regardais faire discrètement dans la glace. Un vrai meurt-de-faim…

  • C’était trop génial, attends ! Parce que ce type, il est toujours hyper sûr de lui. T’as l’impression qu’il y a rien qui peut l’atteindre. Qu’il y a aucune prise nulle part ; Et là, d’un seul coup tu le vois qui perd complètement pied. Tout ça juste parce que je me suis amenée avec le derrière tout rouge.

  • Tu lui as montré ?

  • Ça va pas, non ? Pour qui tu me prends ? Il a juste vu ce qui débordait de la culotte.

  • C’était déjà pas si mal, moi, je trouve pour une première fois.

  • Et elle qu’arrêtait pas ! Qui faisait sans arrêt semblant de pas s’apercevoir qu’il était revenu derrière le rideau. Qui faisait ses commentaires tout fort. « Wouahh la la ! Cette tannée que t’as prise. Faut dire que tu l’avais cherchée. Que tu l’as pas volée. En tout cas comment j’aurais pas aimé être à ta place ! Se faire déculotter comme ça devant tout le monde et s’en ramasser une. Oh, la honte ! » Il transpirait à grosses gouttes, l’autre. Et il était rouge, mais rouge !

  • Il doit s’en poser des questions à l’heure qu’il est.

  • Il se les pose peut-être, mais à nous il les a pas posées.

  • Il s’en est fallu de peu, moi, je crois.

  • Suffirait de lui en remettre une bonne couche.

  • Vous êtes folles , les filles ! Vous êtes complètement folles. Vous faire mal comme ça juste pour qu’un type que vous connaissez à peine se pose des questions. Faut vraiment que vous soyez cinglées.

  • Oh, mais ça fait pas mal ! Enfin, si ! Dans un sens. Mais dans un autre, non. Au contraire… Ça fait du bien parce que ça fait mal justement. Je sais pas vraiment expliquer. T’en as jamais reçu ?

  • Jamais, non.

  • Tu devrais essayer. Tu te rendrais compte par toi-même comme ça. Tu veux que je te le fasse ?

  • Oh non, non ! Si jamais il y a quelqu’un qu’arrive…

  • Ici ? Il passe jamais personne.

  • Oui, mais alors doucement, hein ! Et si je te dis d’arrêter, t’arrêtes ! Promis ?

  • Juré. Allez, viens !

2-

  • Alors ? Qu’est-ce t’en dis ?

  • Ben…

  • Oui, hein ! C’était pas : « Arrête ! » C’était plutôt : « Continue et tape plus fort ! » T’as aimé. Tu viendras pas dire le contraire.

  • J’aurais jamais cru.

  • En tout cas comment elle te l’a mis rouge. Nettement plus que le mien hier. Qu’est-ce tu fais ?

  • Je me rhabille. Faut que j’aille quelque part. J’avais complètement oublié.

3-

  • Cette demoiselle ?

  • Il y a des copines à moi qui sont venues essayer des jeans hier.

  • En effet, oui.

  • J’aurais pu les voir ? Les mêmes.

  • Bien sûr. Et si vous souhaitez essayer, c’est là-bas. Juste en face.

Il a écarté le rideau.

  • J’en étais sûr. Non, mais à quoi vous jouez toutes les trois ?

  • À quoi on joue ? Je comprends pas.

  • Oh, si ! Si, tu comprends. Tu comprends même très bien. Qu’est-ce que vous cherchez en venant me coller comme ça vos petits derrières cramoisis sous le nez ? À ce que moi aussi je vous en colle une ? C’est ça ? Oh, mais avec plaisir. Suffit de demander. Regarde-moi ! Dans les yeux. C’est ça que tu veux ? C’est ça que t’es venue chercher ? Hein ? Eh bien réponds !

  • Oui.

  • Eh bien allez !

  • Ici ? Maintenant ? Mais s’il y a quelqu’un qui rentre ?

  • C’est un risque à courir. Ça rajoute un peu de piquant. Allez ! On baisse cette petite culotte. Tu sais que tu as un très joli cul ? Et que le rouge lui va vraiment très bien ? Ce serait dommage de pas en remettre une couche.

4-

  • Mais c’est qu’elle a apprécié, la petite demoiselle ! Elle a joui comme une petite folle sous les claquées, oui !

  • Je voudrais vous demander ? Vous allez leur dire ? Si elles reviennent, vous leur raconterez ?

  • Tu voudrais ?

  • Oh non, non !

  • Alors motus et bouche cousue.

  • Et moi? Je pourrai revenir ?

  • Quand tu voudras. Il y a aucun problème ? Ça, c'est quand tu voudras...

super j aurai bien aimé etre le vendeur pour voir vos petit cul tout rouge et de vous donner la fessée
Aucun doute U'il en a bien profité!
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